ARTE-MUNDIAL-CRITICA-DIMENSIONES: L'avant et après la restauration de l'Ecce Homo de Borja, Saragosse

jueves, 7 de febrero de 2019

L'avant et après la restauration de l'Ecce Homo de Borja, Saragosse

L'avant et après la restauration de l'Ecce Homo de Borja, Saragosse

Le travail original de l'artiste Elías García Martínez, Ecce Homo, peint en

L'un des murs de l'église du Sanctuaire de la Miséricorde a fait l'objet d'une "restauration" qui a considérablement altéré l'image et la qualité. Le Centre d’études borgiennes l’appelle «un fait indéfinissable», un fudge montrant des photos illustrant l’avant et l’après.

Le conseil municipal de Borja a commandé un rapport sur les dommages causés par "un individu qui, selon le Consistoire, a agi sans demander la permission", mais "avec bonne intention", bien qu'il se plaint que le peintre Cecilia Giménez, 80 ans, l'ait fait " à vos risques et périls. " Une fois les dommages évalués, la restauration serait effectuée à nouveau "(El Heraldo, août 20102).

Dans les réseaux sociaux, les nouvelles ont provoqué des éclats de rire et des assemblées du Christ de Borja avec un nouveau nom ont été créées, "ecce mono"). La cause du scandale, ne comprend pas la raison de tant de mouvement, et dit qu'il a décidé de retoucher le Christ parce que le sel sur le mur était sur le point d'effacer l'huile. En outre, le prêtre savait, comment puis-je le faire sans rien dire si tout le monde qui venait me voir peignait? "

Le conseil municipal de Borja (Saragosse) n'a pas exclu la possibilité d'engager une action en justice contre la vieille femme, bien qu'il faille tenir compte du fait que, s'agissant d'une œuvre non cataloguée, "le niveau d'agression est différent". Ce qui est préoccupant, c’est qu’il ne peut y avoir «d’image d’impunité», quelle que soit la valeur de l’œuvre, une personne est entrée dans une église pour agir à ses risques et périls, ce qui constitue «une atteinte au patrimoine artistique».